Saint-Jacques-An 3 (Lundi 16, fin du chemin Le Puy-Compostela)
Nos 4 pèlerins vététistes ont fini leur périple aujourd'hui ! Commencé en 2011, poursuivi en 2012 et terminé en 2013, ils ont immortalisé leur 3 ans d'efforts par une photo devant la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle. Bravo à Gérard C., Bernard L., Jean-Pierre D., Jean-Pierre P., licenciés ou adhérents de Cahors Cyclotourisme et à leurs courageuses et fidèles accompagnatrices. Les portes du Paradis leur sont ouvertes ! (le plus tard possible évidemment !).
Cahors Cyclotourisme
Nos quatre pélerins à leur arrivée et leurs accompagnatrices devant la cathédrale
Lundi 16 septembre 2013
Etape ultime : MELIDE (430 m)/SANTIAGO DE COMPOSTELA (260 m) 54 km
Départ à 9h35 – Arrivée à 17h00
CA Y EST, nous l'avons fait, nous voici arrivés à SANTIAGO.
Ce matin, par un temps légèrement couvert et frais, nous voilà embarqués pour notre dernière étape. La distance est plus courte, mais pas de tout repos. Le chemin est plus roulant, mais en montagne russe. Les montées se passent à "l'arraché", et tout à gauche, mais elles sont compensées par des descentes du même style.
Nous traversons des forêts magnifiques, avec des eucalyptus géants; le sol est souvent sablonneux. La température est excellente, mais le soleil est moins chaud que les jours précédents.
A 14H30, nous retrouvons nos compagnes, mais auparavant nous avions dégusté encore des "zumo de naranja". Le couvert était mis sur une plateforme bétonnée, et le menu toujours aussi appétissant.
Après avoir avalé encore quelques pentes abruptes, nous voici arrivés au "Monte do gozo" qui domine SANTIAGO. Encore 4 km dans la banlieue de SANTIAGO, et nous voilà devant la cathédrale où nos compagnes nous attendent, avec les appareils photos pour immortaliser ce moment.
Quelques instants d'émotion nous envahissent.
Nous partons chercher notre diplôme (la Compostela) à la maison des 'pérégrinos' (pèlerins).
Souvenir éternel...
Il est 19h45, nous allons sabler le champagne pour terminer ce pari dans la joie et la bonne humeur.
Texte et photo : Bernard Laborderie